3 étapes pour inverser naturellement un métabolisme lent
Qu’est-ce que le métabolisme ?
La plupart des gens pensent que le métabolisme équivaut à la vitesse à laquelle nous « brûlons des calories » alors qu’en réalité le fonctionnement du métabolisme implique bien plus de choses que ça.
Il concerne les différentes fonctions du corps qui transforment les nutriments en énergie, au niveau cellulaire. Il implique le foie, le cerveau, la thyroïde, le système digestif ainsi que beaucoup d’autres organes. Chaque fonction et chaque cellule de votre corps dépend de cette conversion en énergie pour fonctionner et faire son travail.
Le métabolisme influence donc de façon très importante la manière dont votre organisme fonctionne. Un taux métabolique qui décroît, est, en conjonction d’autres facteurs, la première cause d’un déclin physiologique général.
Maintenir un haut taux métabolique apporte de nombreux bénéfices, notamment un renouvellement rapide des cellules et de leurs composants tel que le cholestérol.
Quand votre corps décide de ralentir votre métabolisme, il n’est question que d’une chose : SURVIVRE. Ralentir votre métabolisme permet à votre corps de tenir avec moins de nourriture. Votre corps aura aussi tendance à vouloir stocker plus de graisse, comme mécanisme de protection.
Donc, si vous vous trouvez dans cette situation, lisez-bien les conseils qui vont suivre. Ces 3 étapes vous aideront à réveiller votre métabolisme si celui-ci s’est ralenti.
ÉTAPE N°1 : IDENTIFIER CE QUI RALENTIE VOTRE MÉTABOLISME
⇒ vous Ne mangez pas suffisamment de calories
Oui, vous avez bien lu. La majorité des gens aura tendance à penser que dans notre société actuelle nous mangeons trop de calories.
En réalité, j’ai constaté qu’il y a énormément de femmes qui passent leur temps à essayer de manger MOINS et d’autres qui alternent entre repas haut en calories à faible densité nutritionnelle et repas faible en calories de type « régime » pour se repentir de leur « mauvaise » conduite.
Ce yo-yo entre « beaucoup » et « peu » est extrêmement délétère pour le métabolisme.
Si vous ne mangez pas assez de calories, votre métabolisme ralentira pour économiser le peu de calories reçues. Pour faire une analogie, imaginez que votre corps est une maison. Si vous ne gagnez pas assez d’argent pour payer vos factures, que faites-vous ? Vous pouvez, pour compenser, baisser le chauffage, éteindre les lumières dès que possible, et avoir du mal à assurer l’entretien. Votre corps se comporte de la même façon.
Quand il n’y a pas assez de calories qui rentrent, votre corps économise de l’énergie en réduisant votre température (ralentissement du métabolisme), en diminuant la production des sucs digestifs (affaiblissement de votre digestion), et en réduisant votre pouls, et vos fonctions endocrines et thyroïdiennes (moins d’énergie).
Ce sont des réponses biologiques naturelles de survie que votre corps met en place pour vous aider à avancer avec moins de nourriture. Et ce n’est pas une mauvaise chose ! En réalité cela vous aide à rester en vie dans un état d’urgence ou de famine.
⇒ Vous ne mangez pas assez d’hydrates de carbone (de glucides)
Les glucides sont vraiment LE macronutriment le plus important quand il s’agit de maintenir un bon métabolisme. Tous les macronutriments sont importants (glucides, protéines et lipides) mais les glucides sont primordiales car ils permettent la conversion des T4 (hormones thyroïdiennes inactives) en T3 (hormones thyroïdiennes actives) dans le foie.
Vous avez donc besoin d’un apport en hydrates de carbone régulier et d’un stock de glycogène constant pour que ce processus ait lieu et pour ne pas présenter des symptômes « d’hypothyroïdie ».
⇒ Autres causes possibles
Si vous mangez suffisamment de calories (minimum 2 000 calories/jour environ pour une femme), de glucides (au moins 60% de vos apports caloriques) et de nutriments mais que vous présentez toujours des symptômes témoignant d’une faiblesse du métabolisme, il y a d’autres hypothèses que vous voudriez envisager :
- Trop d’exercice physique (particulièrement sous forme de cardio) : oui, faire trop de sport, particulièrement quand votre alimentation est pauvre ou que vos apports caloriques sont trop faibles, est un bon moyen de forcer votre corps à se sécuriser et à ralentir vote métabolisme.
- Consommation trop importante d’acides gras trans (margarine) et/ou d’acides gras polyinsaturés (les fameux « bons gras » ou « acides gras essentiels » des huiles et graisses végétales) : une accumulation excessive d’acide gras polyinsaturés dans vos tissus aura un effet anti-métabolique, inflammatoire et œstrogènique.
- Consommation trop importante de protéines pro-inflammatoires et anti-métaboliques : la viande issue de muscles, les oeufs et les produits laitiers, contiennent des acides aminés favorisant l’inflammation et altérant le fonctionnement de la thyroïde.
- Consommation d’eau et de jus verts trop importante : ne pas écouter sa sensation naturelle de soif et se forcer à boire beaucoup peut diluer la concentration en électrolytes et en sels minéraux de vos fluides extracellulaires. La sur-hydratation peut entraîner de réels problèmes de santé chez quelqu’un dont le métabolisme est déjà compromis.
- Manque de sommeil : le corps humain utilise le sommeil pour se régénérer, pour faire baisser ses niveaux de cortisol et, de manière plus générale, pour réussir à tenir toute la journée. Et, pour ce qui est de l’excuse de « je suis un couche-tard », sachez que les personnes qui ont le plus d’énergie au moment du coucher (pic de cortisol le soir) ont tendance à avoir un mauvais métabolisme ; c’est donc une habitude qui est réversible.
- Mauvaise digestion : une digestion paresseuse peut dérégler et réduire l’appétit, souvent à cause de ballonnements, de problèmes de constipation et d’une incapacité à consommer assez de calories.
- Déséquilibres hormonaux : des niveaux faibles de progestérone et/ou une dominance œstrogénique peut ralentir le métabolisme en interférant avec la capacité qu’a le corps à convertir les hormones thyroïdiennes (T4 en T3).
- Présence chronique de perturbateurs endocriniens et métaboliques dans l’alimentation ou le mode de vie : additifs, conservateurs, exhausteurs de goût, édulcorants/faux-sucres, pesticides, soja, pilules contraceptives, médicaments, implants mammaires, cosmétiques, produits ménagers, etc…
- Stress excessif : le cortisol altère la conversion des hormones thyroïdiennes. ET, un des principaux facteurs responsables de la production chronique d’hormones du stress est la sous-alimentation.
ÉTAPE N°2 : CORRIGEZ CE QUI RALENTIt VOTRE MÉTABOLISME
Une fois que vous avez identifié la/les cause(s) qui contribue(nt) au ralentissement de votre métabolisme, c’est le moment d’opérer quelques changements. Plus votre métabolisme a souffert longtemps, plus il peut y avoir de causes qui pouvant rentrer en jeux dans le ralentissement de votre métabolisme, et plus la situation demandera du temps pour s’inverser.
⇒ Mangez plus de calories / Écoutez vos envies
Si la cause est un manque de calories, c’est le moment de manger plus et d’arrêter de compter vos calories ou de peser vos portions.
Savez-vous qu’être capable de sauter des repas sans inconfort est le signe d’un faible métabolisme ? Les enfants en sont un bon exemple. Ils sont généralement dotés d’un très bon métabolisme et nous savons tous que, lorsqu’ils ont faim, leur colère peut être explosive.
Si votre corps converti efficacement vos nutriments en énergie, alors vous aurez faim au même moment chaque jour. Si vous pouvez attendre jusqu’à midi pour manger le petit-déjeuner, voire même jusqu’au soir, ce n’est pas quelque chose dont vous devriez être fier.
Si vous ressentez de la frilosité au cours de la journée à un ou plusieurs moments alors vous ne mangez définitivement PAS suffisamment.
Votre faim et vos envies sont là pour une raison. Écoutez les.
⇒ Mangez suffisamment de glucides
Si la cause est un manque de glucides, c’est le moment d’incorporer progressivement plus de glucides denses en nutriments à votre alimentation.
Je ne le répéterai jamais assez, les glucides sont la source de carburant préférée du corps humain car le glucose est la seule molécule qui permette aux mitochondries des cellules de produire de l’énergie (ATP).
Pour augmenter votre métabolisme, privilégiez les fruits peu aqueux ou les glucides non-raffinés de la classe des amidons (comme les pommes de terre) car ils se métabolisent quasiment tous en glucose ou en acides gras à chaînes courtes (tel que l’acide butyrique qui provient de la fermentation des fibres et des amidons résistants dans le tube digestif) qui sont tous deux de puissants stimulateurs métaboliques. Les meilleures sources d’amidons résistants sont les légumes racines, les tubercules, les bananes plantains, les haricots secs, les légumineuses, et les céréales complètes.
⇒ Reposez-vous !
Si la cause est le sur-entrainement, il est temps de calmer le jeu et de vous assurer que votre corps ne subit pas un déficit calorique chronique.
⇒ Diminuez votre consommation de graisse trans et d’AGPI 6 au profit de l’huile de coco
Un des plus grosses erreurs de notre société a été l’invention des graisses trans artificielles. Ces graisses hydrogénées, comme celles que l’on trouve dans les fameuses margarines « bonnes pour le cœur », sont bien plus dangereuses que ce que les AGS ne l’ont jamais été. De plus, les acides gras polyinsaturés contenus dans les fameux « bons gras » végétales et les oléagineux, ont été prouvés comme étant anti-métaboliques et pro-inflammatoires.
Le corps humain a certes besoin d’un peu de lipides pour assurer certaines fonctions mais les besoins de l’adulte sont beaucoup moins importants que ceux des nourrissons et des enfants. Entre une alimentation riche en glucides et une alimentation riche en lipides, la version riche en glucides aura un impact beaucoup plus important sur la température corporelle et l’augmentation de l’activité mitochondriale.
L’huile de coco (AGS) est aussi particulièrement bénéfique pour les personnes ayant un faible métabolisme car elle contient un acide gras particulier appelé acide laurique qui permet d’augmenter le fonctionnement des membranes cellulaires et donc d’augmenter le taux métabolique.
Tout le monde de nos jours bénéficierait d’une réduction de sa consommation d’huile végétale et d’oléagineux au profit de l’huile de coco…
⇒ Diminuez votre consommation de protéines pro-inflammatoires au profit des protéines anti-inflammatoires
Une alimentation riche en viande peut raccourcir la durée de vie, ralentir le fonctionnement de la thyroïde (et donc ralentir le métabolisme) et favoriser l’inflammation, surtout si elle est construite autour de viandes issue de muscles, pauvres en collagène. La glycine (présente en abondance dans les végétaux comme la pomme de terre, les lentilles, le riz brun, etc., et dans les fruits de mer comme les huitres et les saints-jacques) peut diminuer les effets néfastes de la caséine, de la méthionine et de la cystéine, trois acides aminés pro-inflammatoires et anti-thyroidiens que l’on trouvent en abondance dans la viande, le lait et les oeufs.
⇒ Ne vous sur-hydratez pas !
Si vous consommez beaucoup d’eau, de jus et d’aliments aqueux, c’est le moment de réduire votre consommation de liquides et de commencer à écouter votre soif. Ne vous forcez plus à boire 3 litres d’eau et de jus verts par jour ! Le plus n’est pas le mieux.
Quelle quantité de fluides devriez-vous consommer ? C’est une question à laquelle je ne peux répondre car trop de variables affectent nos besoins. Si vous rencontrez quelqu’un qui pense pouvoir répondre à votre place à cette question, fuyez ! Le meilleur indicateur reste la concentration de votre urine : aspirez à avoir une urine toujours jaune (nous sommes le seul mammifère cherchant à uriner clair !) et à uriner environ toutes les 4h et pas pendant la nuit. Avoir de fortes envies d’uriner et uriner plusieurs fois par heure n’est pas normal.
⇒ Consommez davantage de sodium
Le sel est un puissant stimulateur métabolique. Il a effectivement un effet thermogénique sur le corps humain c’est-à-dire qu’il augmente la dépense énergétique et la production de chaleur. Le sel est également très efficace pour stopper la production d’hormones du stress, ce qui explique pourquoi les personnes qui se sous-alimentent ou qui souffrent de « fatigue surrénalienne » ont régulièrement des envies salées.
Vous n’avez pas non plus à vous gaver de sel mais vos repas doivent être agréablement salés au goût et toutes les boissons que vous consommez devraient être contrebalancées par un petit peu de sel. Ce n’est pas une prescription permanente mais le sel peut être très thérapeutique pour augmenter le taux métabolique. Constatez par vous-même la chaleur qui se dégagera de vos extrémités lorsque vous salerez davantage vos repas…
⇒ Améliorez vos habitudes de sommeil
Le manque de sommeil peut avoir un effet assez destructeur sur le corps humain. Rester éveillé tard augmente la production de cortisol et d’adrénaline. À court terme, ce n’est pas mauvais. Mais le corps humain ne se porte pas bien lorsque les taux sanguins d’hormones du stress sont élevés de manière chronique. Essayez autant que possible d’aller au lit avant 11h et de faire des siestes. Et réveillez-vous naturellement, sans réveil !
⇒ Facilitez votre digestion
Renseignez-vous sur aliments les plus faciles à digérer et aider votre corps à augmenter ses capacités digestives.
⇒OPTIMISEZ vos PRODUCTIONS hormonaLES
Assurez-vous de bien soutenir vos productions hormonales en apportant à votre corps les nutriments dont il a besoin pour qu’elles se déroulent correctement (calories, glucides, vitamines, minéraux, etc.).
⇒ Faites le tri dans vos placards !
Essayez de chasser autant que possible les toxines et les perturbateurs endocriniens/métaboliques de votre quotidien (maquillage, produits de beauté, etc.).
⇒ Minimisez VOTRE stress mental et émotionnel
Plus facile à dire qu’à faire je sais mais prenez conscience des choses qui vous stress et vous énervent et essayez autant que possible de relativiser. Pratiquez des activités relaxantes comme la lecture, la médiation, recevoir des messages, écouter de la musique ou toute autre activité qui apaiserait votre mental.
ÉTAPE N°3 : SOYEZ CONSISTANT(E) ET PATIENT(E)
Avant de retourner à mon poids naturel, j’ai dû essayer des dizaines de régimes. Laissez-moi vous dire quelque chose : ils ne m’ont rien apporté d’autres que de sages enseignements et quelques kilos de plus au compteur. Si j’avais su avant que mon corps avait besoin de beaucoup plus de calories et d’une grande quantité d’aliments naturels, j’aurais probablement perdu du poids plus rapidement, savouré davantage la vie et je n’aurais pas altéré mon métabolisme.
Aujourd’hui je peux manger autant que je veux jusqu’à satisfaction. J’écoute ma faim et mes envies. C’est le moyen le plus sûr de préserver mon métabolisme sur le long terme et de maintenir une production d’énergie mitochondriale saine et abondante. Je me concentre autant que possible sur les aliments naturels et les moins transformés possibles et n’écoute plus les personnes prônant des modes alimentaires hautement restrictifs (low-fat, low-carb, low-IG, crudivore, etc.).
Améliorer la manière avec laquelle votre corps converti les nutriments en énergie peut avoir des impacts positifs à différents niveaux. Personnellement, depuis que j’ai optimisé mon métabolisme, j’ai beaucoup plus de facilité à maintenir mon poids, à maintenir une énergie stable tout au long de la journée, et mes productions hormonales se sont grandement améliorées.
Soyez donc patient(e) avec votre corps. Vous n’avez pas ralenti votre métabolisme en une nuit et la guérison ne se fera pas en un jour, en une semaine, en un mois, ou même en une année dans certains cas, particulièrement si vos hormones du stress sont élevées.
Et, avant de vouloir perdre du poids, laissez à votre métabolisme le temps de se « guérir ». Il est beaucoup plus facile de perdre du poids avec un bon métabolisme.
Quand vous vous remettrez à manger normalement et régulièrement au cours de la journée, vous allez sans doute vous sentir fatigué pendant un moment car ces hormones qui vous maintenaient « éveillé » vont diminuer et votre thyroïde pourra doucement prendre le relais.
Portez aussi attention à votre température corporelle. Vous ne devez plus ressentir aucune frilosité au cours de la journée. Tout fonctionne mieux lorsque le corps se trouve à la température à laquelle il est censé être. Quand notre température diminue, nous entrons dans un état « d’hibernation », et tout ralentit : digestion, circulation sanguine, récupération musculaire, fonctionnement cérébral, etc.
Conclusion
Vous devez sans doute penser que ces conseils vont à l’encontre de la plupart des conseils « healthy » que l’on trouve aujourd’hui sur internet, mais c’est parce que justement la majorité des conseils actuels (manger moins de calories, manger moins de glucides, supprimer le sel, manger plus de « bons gras », manger beaucoup de protéines, boire plus d’eau et de jus verts, faire plus de sport, etc.) ralentissent plus le métabolisme qu’autre chose.
Je vois énormément de personnes chez qui les intentions en termes de fitness et de nutrition finissent en trouble alimentaire, avec des dérèglements métaboliques et hormonaux importants, anormalement frileuses, incapables de perdre du poids et de manger sans être ballonnée ou de dormir d’une seule traite.
C’est d’ailleurs pour inverser ce déclin métabolique généralisé auquel le monde du « healthy eating » assiste que j’ai décidé de créer ce site et d’y partager les solutions fiables que j’ai pu mettre en place grâce à mes expérimentations et mes échanges.
Maintenant dites-moi en commentaire si vous aussi vous pensez être concerné par un des points évoqués dans l’article !
Bonjour Émilie,
Je te remercie pour tes articles et vidéos. Je souffre d’anorexie restrictive depuis plus de 15ans et je souhaite m’en sortir. J’ai découvert l’alimentation intuitive et puis ton avis concernant l’approche. Je suis un peu perdue. J’ai peur de commencer à me laisser manger. Je n’ai jamais fait de crises de boulimie et je n’ai pas l’impression que ça m’arrivera tellement je le redoute. Par contre je m’inquiète concernant mon métabolisme, il doit être hyyyyper ralenti, je mange peu, quasi pas de glucides, j’allaite mon bébé de 16 mois et je fais 30km de vélo par jour au minimum. J’ai vraiment peur que mon poids explose au moment où j’arrêterai le vélo et où je mangerai des féculents. Je suppose qu’il va tout stocker et c’est vraiment très angoissant pour moi. Est-ce que je dois m’attendre à une grosse prise de poids rapide? Comment est-ce que mon corps qui subit des privations depuis 15 ans, qui a toujours été en aménorrhée depuis, qui a toujours eu un bmi trop bas et qui est en restriction encore plus intense depuis 15 mois va-t-il réagir ? Je sais que tu n’as pas de boule de cristal mais peut-être que tu as déjà rencontré des situations similaires ?
Je te remercie beaucoup pour ton aide.
Bonjour Amandine, il faudrait faire les choses progressivement par le biais d’une reverse diet et, si possible, te faire accompagner. Cela ira 😉 Amicalement. Emilie
Merci Émilie pour ta réponse, je n’ai jamais entendu parler d’une reverse diet. Je vais me renseigner. Bonne année à toi!
Bonjour Emilie, j’ai découvert votre vidéo d’une heure environ, sur YouTube, dans laquelle vous exposez votre rapport à la nourriture, le fait que vous vous autorisez à ne vous interdire aucun aliment et que vous refusez toute restriction : ça me parle au plus profond de moi-même. Je pense que vous êtes dans le vrai. Je m’efforce de me mettre cette idée en tête dans l’objectif de perdre du poids. Mais je crois qu’en fait mon problème est que mon cerveau reptilien ne VEUT pas que je perde du poids: en mai dernier, je me suis dit que je voulais perdre 4 kg… je les ai pris! J’ai donc un double problème : je mange très raisonnablement, voire finalement assez peu lorsque je ne mange pas de manière compulsive en grande quantité et j’ai peur de maigrir tout en ne supportant plus mes rondeurs qui me gênent au niveau du ventre et de la poitrine notamment . Pouvez-vous m’aider et comment ?
Merci de votre réponse.
Bonjour, je suis totalement dans ce cas. Je ne dis pas manger suffisamment de calories par peur de grossir. Je fais du sport, je mange des produits sains. Je ne sais par quoi ni comment commencer pour rétablir mon métabolisme. Pouvez vous m’aider car je n’en peux plus
J’ai un programme payant entier qui y est consacré.
Bonjour Emilie
Merci pour tous vos articles si intéressants. Une fois de plus, je suis à un cheveu de me remettre dans le compte des calories et tout ce qui va avec. Cela fait plusieurs mois que j’essaye de lâcher prise, plus de balance, plus de restriction, mais mon corps ne me plaît pas. Je sais que je dois travailler sur l’amour de moi, ce n’est pas facile tous les jours. J’aimerais pouvoir revenir en arrière et n’avoir jamais commencer les régimes. Je passe mon temps à osciller entre « je me plais » et « tu ne peux pas continuer comme ça ». J’ai autant l’impression de tourner en rond que d’apercevoir le bout du tunnel.
Je vais y arriver… ou pas!
Merci énormément pour ce blog, post je ne sais pas trop
Je souffre d’anorexie mentale et donc je pense que je ne mange pas suffisamment, un moment j’avais augmenter suffisamment ou du moins je manger plus que maintenant en terme de calorie mais je n’est pas perdu de poids alors je cherchais les causes et cela fait quelque jours que je pense à cela et je pense avoir trouver pourquoi. Je pense que je ne mange pas suffisamment mais j’ai très peur que mon corps gonfle … mais je vais essayer d’augmenter pour avoir un meilleur métabolisme … je me suis énormément reconnu dans tout cela …
Merci profondément pour ce que vous nous apportez, cet éclairage conscient et pertinent.
L’alimentation intuitive a fait devenir mon quotidien, un enfer, simplement car j’angoissais de ne pas ressentir la faim au moment de passer à table, ou au moment où faire une pause m’aurait comblé, obsédée par le moindre signe, le moindre gargouillement, si absents me rendaient terriblement frustrée de ne pouvoir me faire plaisir physiquement et mentalement..s’autoriser à manger sans faim est devenue impossible pour moi, après 18 ans d’anorexie et de boulimie vomitive, les crises ont disparues mais on tente tant bien que mal de trouver un équilibre, un réglage idéal pour retrouver la sérénité, et ne plus jamais être frustrée..Pour ma part, je respecte un intervalle de 5 à 6h entre les 3 repas, (l’apport régulier et constant me calme, m’épanouit)ce qui me convient le mieux après diverses expériences, ainsi que pour ma digestion qui se remet en fonction..patience..mais j’essaie depuis peu d’arrêter de me focaliser sur les sensations de faim, les signaux car ça me pourri la vie, hormis la satiété pour mieux digérer..
J’applique vos conseils pour le reste, plus aucunes restrictions alimentaires, dans les choix et ça apaise énormément les envies, on va d’ailleurs naturellement, à un moment donné, vers des salades haha..
Ça reste encore difficile de ne pas culpabiliser après avoir mangé sans être affamée, si vous avez un conseil pour me rassurée, je suis preneuse.
Merci encore.
Merci beaucoup pour ton retour ! Mon meilleur conseil : un bon gros FUCK quand tu as ces pensées culpabilisantes 😉
Bonjour et merci pour cet article encore une fois très clair et bien détaillé.
Je me questionne en te lisant sur tout ce qui se dit actuellement au sujet du jeûne intermittent. Grosse mode actuelle il faut reconnaître, mais alors tout ce qu’ils sont nombreux à dire au sujet du JI pour relancer le métabolisme, c’est faux ?
Attention, j’entends par jeûne intermittent uniquement le fait de faire un break digestif sur les 24h et non d’être en déficit calorique le reste de la journée.
Qu’en penses-tu ? Âneries de plus dans le domaine de la santé 2.0 ou bien il y a une possibilité de relancer son métabolisme en mangeant ses calories nécessaires entrecoupées d’une pause ?
Merci pour ton commentaire. Pour le jeûne, ponctuellement why not pas mais, malheureusement, de nos jours, les gens ne savent pas faire les choses de manière ponctuées ! Par contre si compulsions il y a, ne surtout pas jeûner il faudra ! 😉
Bonjour
J’ai parcouru certaines de vos vidéo et votre blog!!! et je suis soulagé de comprendre que j’ai encore l’espoir de sortir de ma tca que je subit depuis 30 ans sachant que j’en ai 33!!!! j’ai toujours été hyperphage et je n’en peux plus!! j’ai fais des regime des restrictions une dépression voulant meme en finir car ca pourri la vie!! je suis maman jai un conjoint formidable et pourtant je me sens tellement malheureuse de tout ca 🙁 dernièrement je me suis rapporché un peu de la meditation la plein econscience etc… j’ai tenu deux semaine et Hop c’est revenu en force tous les jours je m’empifre je ne compte plus les aller retour j’essaye d’appliquer l’exercice de m’auoriser a manger ce que je veux mais ca fini toujours en maux de ventre je transpire bref je me suis encore explosé le bidon!! je prends du poids je me sens fatigué desespéré!!!!! auriez vous quelques exercice a faire a la maison pour rebondir svp!! Merci
Émilie bonjour je suis vraiment désespérée heureusement que je viens de découvrir ton cite je suis en dépression chronique depuis 2007 et j’ai pris 30 kg je me déteste comme je suis je veux plus sortir de chez moi je suis sous antidépresseur depuis tout se temps je fais de la phybromialgie donc pas d exercice qu est ce que je dois faire pour plus avoir honte de moi quand je me regarde devant une glace je me prive de beaucoup de choses en alimentation et je me pèse toute les semaines et je me mais à pleurer quand je vois mon corps et mon poids j ai fait fait des ts merci de me répondre si vous pouvez
Bonjour Blandine, écris moi un email ce sera plus pratique 😉
A l’heure actuelle j’ai vraiment besoin d’être guidée et qu’on me dise quoi manger quand et comment car je me suis complètement perdue… je commence a manger parfois il est 17h voir 20h car j’ai plus le choix je commence a avoir des vertiges et étourdissements… et après plusieurs jours comme ça je me mets à manger n’importe quoi et puis je culpabilise et me sent très mal c’est l’enfer.. je ne suis jamais à table avec mes enfants je les regarde manger et je c plus quoi manger.. du coup je m’abstiens etc… j’ai besoin d’aide, d’avoir un planning pour être guidée… mais ma plus grande peur serait de prendre du poids… merci infiniment d’être là. Jess
Mais pourquoi attendre 17H-20H pour manger ? C’est du sucide si tu as des compulsions. Commence par faire (minimum) 3 repas dignes de ce nom à table avec tes enfants telle une personne normalement constituée. Si tu veux retrouver une relation normale avec la nourriture tu DOIS faire ce que font les mangeurs normaux c’est à dire minimum 3 repas par jour et ressortir de table avec le ventre plein. Tu ne dois plus avoir envie de manger quand tu sors de table. Et si ta plus grande peur est de prendre du poids alors qu’est ce que ce serait si tu perdais tes deux bras et tes deux jambes, ton cerveau, ta mémoire, ta vue, ou pire, tes enfants. Il faut apprendre à relativiser et à éprouver de la gratitude pour toutes ces choses que tu as et qui te manqueraient horriblement si elles disparaissaient. Concentre toi sur ce que tu AS plutôt que ce que tu n’as pas. D’autant plus que tu ne peux pas guérir ta relation avec la nourriture tout en te souciant de ton poids. C’est incompatible. Tu dois arrêter de chercher à contrôler ton poids si tu veux réussir à manger normalement. Voilà. Je reste dispo si besoin est. Avec toute ma bienveillance. Emilie
Pk parce que les gens sont cons !! Car quand je parle à quelqu’un de mon désir de reperdre du poids car je ne contrôle plus mon poids comme avant on m’ Plusieurs fois répondu : il faut faire un jeune patati patata et que au final c’est de la merde…. et oui effectivement tu as raison l’essentiel est là et heureusement d’ailleurs et au lieu de voir ce qui me plaît pas je devrais d’avantâge profiter de mes merveilleux dont du ciel !!! N’est-ce pas pour cela que je suis ici ? Pour guérir !!? Pour changer ??! Je me suis dis pareil que toi !
Exactement ! L’essentiel c’est d’avoir pris conscience de tout ça car on ne change ce dont nous n’avons pas conscience 😉
Bonjour rayon de soleil ! Je suis heureuse de venir ici me rendre compte que j’ai encore un espoir.. je suis tombée dans un problème d’alimentation et ai certainement bousillé mon métabolisme… le pire c’est que je ne sais plus quoi faire ni manger… je vais essayer d’analyser au maximum tout ce qui est indiqué ici afin d’introduire tout les changements nécessaires. Merci
Merci pour cet article
Et oui moi aussi je fais partie du club des métabolises lents. Après un amaigrissement dû à un choc psychologique j’ai commencé à contrôler mon alimentation afin de ne pas reprendre tout c’est kilos perdus, après avoir étés hyperphagique adolescente, anorexique et à nouveau hyperphagique… je reprends tout le poids perdu petit à petit sans pour autant avoir des raisons. Frilosité, constipation, crise de colite, déprime, douleur multiples dans mon corps, manque de sommeil… j’essaie tant bien que mal à redresser la barre, j’apprends donc que se sera long….
Salut, le truc c’est que j’ai une fixette sur le fromage, les yaourts, le lait de vache…
Perso je ne compte pas me passer de produits laitiers parce que quand je n’en consomme pas je me sens moins bien et j’adore ça en plus!
Mais le problème c’est que je mange parfois du fromage à la place du pain. Je devrais certainement remplacer une partie de sa consommation par des glucides mais penser comme ça c’est faire des plans…
Bref je suis perdue
Bonjour Saya, supprimer les produits laitiers n’est clairement pas la solution si tu aimes car cela engendrera de la frustration et donc des crises de boulimie mais peut être qu’il faudrait creuser pour savoir pourquoi tu as envie d’en manger autant ? Commence peut être par rajouter des glucides à tous tes repas et tu verras si tes envies diminuent en donnant à ton corps l’énergie dont il a besoin 😉
Depuis que je suis tombée sur ce blog, je comprends peu à peu ce que mon corps subit. Mes Tca l’ont abîmé et il doit se reconstruire. Ma préoccupation majeure est mon aménorrhée. Je pense que lorsque ce point sera résolu, je pourrai considérer mon corps en meilleure santé. En attendant, je suis sujette à une faim extrême. En répondant à mes envies, je prends du poids assez rapidement ce qui est vraiment très difficile psychologiquement à cause de l’anorexie. Cependant, les différents articles me rassurent. J’espère juste être assez forte pour franchir cette épreuve et que mon corps guérira rapidement. En attendant je surveille ma température pour voir mon évolution. En toute cas, merci pour les articles, ils me sont d’une aide précieuse et sans eux je ne pense pas que j’aurai compris ce qu’il m’arrivait
Avec plaisir Jessie 😉
Encore un bel article qui m’aide un peu + à comprendre les choses… Merci beaucoup! J’essaye de suivre les conseils à la lettre et pour le moment tout va bien moralement, je me sens tellement mieux, je ne me pose plus aucunes questions sur la nourriture à part « de quoi j’ai envie »! ma peur de grossir est toujours présente mais cette paix dans ma tête est tellement reposante!
Merci encore!!!
Super continue comme ça !
Un super article. Depuis que j’ai appliqué tes conseils, je suis une chaudière en continu, en période d’été ce n’est pas super agréable parfois ahah, mais je suis fière que la machine se remette en marche. Mais je me demandais, que penses-tu du gras du chocolat? C’est plus du gras saturé ou du non saturé (donc poly + mono)? Je ne sais pas pourquoi mais comme j’en mange tous les jours et beaucoup (non non tout va bien ^^), j’ai pleins de petits boutons sur le visage, dans le dos et au niveau de la poitrine. C’est particulièrement gênant… sais-tu ce que c’est? Encore merci.
Hihi oui le mode chaudière on y passe toutes 😉
Le beurre de cacao devient lui aussi solide au contact du froid ce qui signifie qu’il est très riche en AGS… Après moi le gras ce n’est pas quelque chose dont je suis fan pour produire de l’énergie mais si l’on doit guérir d’un trouble alimentaire ce n’est pas le moment de le supprimer de son alimentation 🙂 Et les boutons cela peut aussi provenir du système hormonal qui se remet en route ! Avais-tu tes règles de manière régulière ?
Oui je me doute, je suis fan de glucides et je peux t’assurer que ma seule source de gras pour l’instant c’est le chocolat. Il est vrai que je m’en suis privée pendant longtemps alors je savoure mais je t’avoue que je m’en désintéresse peu à peu car je n’ai plus les mêmes envies de chocolat qu’auparavant (aussi omniprésentes je veux dire). Autrement je ne mange presque que des glucides (et ce n’est pas du frugivorisme ). Et oui j’ai eu de nouveau mes règles alors que j’étais en sous-poids, et elles étaient régulières. C’est pour cela que je ne comprends pas… peut-être est-ce le foie qui a du mal ?
Je pense que ce sont tes hormones tout simplement. C’est encore tôt 😉
Ton site est super. Ayant fait des études en médecine, je ne peux que confirmer la pertinence de ces propos. Je comprends aussi mieux ce qui m’arrive: en pleine renaissance après 10 ans de bataille avec des TCAs, je suis enfin passée de « frileuse » à « radiateur ambulant », et je comprends aussi mieux pourquoi j’avais pleins de soucis (évoqués dans cet article, à savoir insomnies, aménorrhée, maux de ventres), et pourquoi je me sens souvent fatiguée en ce moment (mon métabolisme se remet en route! youpi!)
J’espère que tu vas continuer à rédiger des articles de ce genre! merci!
ps: je serais curieuse de connaitre ton avis sur le beurre. tu n’en parles pas vraiment dans ton article sur les AGE.
Bonjour Julie et merci pour ton message !
Oui plein d’autres articles sont déjà rédigés, il faut juste que je trouve le temps de les publier 🙂
Haha et oui moi aussi j’étais une chaudière sur pattes au début !
Concernant le beurre, pour être honnête, je n’ai pas d’avis tranché. Plusieurs des physiologistes que je suis le conseille et nos grands-parents et arrière-grands-parents en consommaient avant que tout parte en vrille et se portaient très bien.
Le beurre, le ghee et le lard sont généralement très faibles en oméga-6, riches en acides gras saturés et pourraient faire partie des alternatives « saines », si l’animal a été bien nourris, ce qui est de plus en plus rare de nos jours… Aux Etats-Unis, le lard est toxique car les cochons sont nourris avec de grosses quantités de maïs et de soja. Et, en plus de la toxicité intrinsèque de l’huile contenue dans ses graines, elles sont contaminées par les produits chimiques agricoles.
Le beurre contient de la vitamine A et de la vitamine D naturelles et certaines hormones naturelles qui pourraient être bénéfiques. Et je dirais que, paradoxalement, malgré sa mauvais réputation, il est moins « engraissant » que les huiles insaturées.
Comme l’huile d’olive, il reste un produit à consommer avec parcimonie selon moi ou en guise de condiment.☺️
Voilà environ 1 mois que j’ai découvert votre site ,votre merveilleux travail. J’avais avant deja beaucoup travailler a vaincre le tca , entre AUTRES javais cesser la restriction physique d’aliments relié à un suivi avec un centre de tca. Guerri par alternance ,je suivais l’alimentation intuitive a la lettre ,je ne comprenais pas, manger étais encore stressant,je ne mautorisais pas à dépasser une demi bouchée de plus que ma satiété ….je me disais que jatteindrai mon poids naturel de cette façon et je me suis aussi mise à mobliger à faire du sport 5 fois semaine… tranquillement à mon insu je replongeait droit vers l’enfer….et un jour PAFF! Les compulsions sont revenue….comprennent pas pourquoi les compulsions et le mal être étais revenue aussi intensément désespérée d’avoir encore échoué j’ai fouillé sur internet pour trouver ENCORE des réponses, de l’aide…..et je vous ai trouvé. Grâce à vous j’ai découvert qu ‘ inconsciemment je me privai mentalement,alors perdu avec un mal à l’âme je me suis lancée, je n’avais plus rien à perdre…je me suis mise à m’autoriser tout ce dont mon corps me demandais et à suivre votre conseil me lautorisé mentalement et plus que ma satiété le plus que je pouvais…. souvent avec beaucoup de difficultés à laisser aller le contrôle de vouloir contrôler mon poids….comme si j’avais peur de laisser aller ce contrôle parceque ça voudrait dire que je ne veux pas perdre du poids ça voudrais dire que je me disais vaincu de cette longue bataille ,depuis l’âge denviron 8ans je me bat et j’en ai 32 c’est difficile de lâcher la prise et de faire confiance à autre chose qu’une méthode… mais au fond on n’a aucun pouvoir sur le corps …lui seul connais ses besoins…j’essaie le plus que je peux de l’écouter à l’aveuglette et me laisser guider. Tranquillement la peur à diminuer,elle est encore là mais je me sent BEAUCOUP mieux! Mon stress de provenance inconnue qui depuis aussi loins que je me rappelle m’habitais à diminuer de 9o% .je crois sincèrement que ce stress étais mon corps qui criait FAMINE,malgré les compulsions journalières, famine relié à la restriction mental comme vous dîtes…et j’y crois parceque depuis que je l’autorise mentalement le plus possible comme je l’ai dit précédemment mon stress à diminuer et jai remarqué que mes extrémités sont plus chaude,je suis beaucoup moins frileuse,mon métabolisme reprend vieet je pratique le sport maintenant parceque ça me fait sentir bien durant la journée et je le pratique quand j’en ai envie ,non obligé. Oui je veux toujours perde du poid je mentirais si je disais le contraire,mais se que je veux c’est mon poids à moi que mon corps choisira,mon corps naturel. Merci pour votre beau partage du travail que vous faites,vous m’avais deja beaucoup aider et ma guerrison se poursuit cela na pas de prix. Sincèrement du fond du cœur merci
Merci pour votre partage. J’essaie de faire de mon mieux et ça me touche beaucoup. Et oui l’alimentation « intuitive » ne marche pas je le constate chaque jour un peu plus. Je peux vous garantir que vous êtes aujourd’hui sur le bon chemin 🙂 Au plaisir. Emilie
Merci d’avoir créée ce site ! Je m’y retrouve totalement.. j’ai passé tellement de temps à essayer des régimes peser les aliments et si peu à m’ecouter (je vais mettre en pratique vos conseils) et vous faire part de mon évolution 🙂
Avec plaisir 🙂